Faites de grands espaces, de roches torturées et de rivières ondoyantes, les Cévennes donnent à voir.

Mon regard ne sait pas choisir entre l’ensemble et le détail tant tout est fort dans ce territoire.

Cette terre où l’homme se fait discret, où les ombres sont profondes, les lumières intenses et les brumes diaphanes nous révèle → nous révèlent sa part d’immuable.

J’ai la sensation que le temps s’est arrêté sur le causse, au flanc des Bondons, dans le fond des vallées, dans le lit des rivières.

Je savoure pleinement cette parenthèse illusoire : l’humain semble être en paix avec la nature.